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Sommaire
• Un peu d’histoire
• Les objectifs du renouvellement urbain
• Avant / Après : résultats en images
Vitrolles a connu des urbanisations successives, parfois opposées dans leur approche, entre l’après guerre et l’après crise pétrolière. Avec le déploiement des activités pétrochimiques, il fut un temps envisagé d’en faire une ville nouvelle de 100 000 habitants.
Une ville construite par îlots et traversée par de grands axes routiers.
Les chocs pétroliers des années 1970 ont toutefois reconfiguré le projet : Vitrolles resterait une ville d’environ 40 000 habitants. Il importait dès lors de “redimensionner” la ville, ses quartiers, en repensant leurs équipements et aménagements.
En 2008, la municipalité a ainsi signé sa première convention avec l’Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine (ANRU), axée sur le quartier des Pins. En 15 ans, ce quartier s’est profondément transformé, désenclavé, et ouvert sur la ville.
Cette réhabilitation s’est achevée en 2024 avec l’ouverture de l’Espace Santé Simone Veil.
La construction du groupe scolaire Robert Badinter est le trait d’union entre la fin de la première phase de renouvellement urbain des Pins et le début de la prochaine au Liourat.
Une chose importait avant tout : améliorer la qualité de vie des habitants.
Pour cela, il fallait réadapter le cœur de ville à sa population avec les objectifs suivants :
Les visuels ci-dessous ont été exposés au cœur du quartier, derrière le groupe scolaire Robert Badinter
Ils rendent compte des transformations spectaculaires opérées à tous les niveaux.
NB : Les lieux et angles de prises de vues sont les mêmes, à 15 ans d’intervalle.